
Blandine de Feraudy
Photo : Laurent Guizard
Blandine de Feraudy
PRESSE
Thierry Martin dans "Unidivers"
20.12.19
"La palme revient pourtant à l’alto solo, Blandine de Sansal qui imposera un silence extatique lors de son interprétation d’un vibrant Agnus Dei. Un vrai moment d’émotion au cours duquel le mot sacré retrouve tout son sens."
Véronique Boudier dans "Olyrix"
20.12.19
"L’alto Blandine de Sansal est dotée d’une voix ample, sur toute la tessiture, surtout dans les graves profonds. Poignante, elle dégage une grande émotion dans sa dernière intervention (Agnus Dei). "
Laurent Bury dans "Forum Opéra"
18.12.19
"Révélation, enfin, avec la mezzo Blandine de Sansal, dont le timbre chaud se révèle particulièrement envoûtant dans l’Agnus Dei final."
Tania Bracq dans "Forum Opéra"
02.10.21
"Blandine de Sansal s'empare avec conviction du rôle de Goffredo lui apportant ses graves riches et soyeux, son sens de la ligne mélodique et une belle noblesse."
Pour Rinaldo de Haendel
Direction Damien Guillon (Le Banquet Céleste)
Mise en scène Claire Dancoisne
Sophie Bourdais dans "Telerama"
09.07.21
" (...) Reste l’interprétation, comme toujours éblouissante, avec ces chanteurs (Lucile Richardot, Caroline Weynants, Julie Roset, Blandine de Sansal, Étienne Bazola, Nicolas Brooymans, Valerio Contaldo, Antonin Rondepierre) capables de rayonner dans leurs solos comme d’offrir la plus accomplie des fusions chorales, et cet ensemble instrumental effervescent, au jeu tout en délicatesse et générosité…"
Ensemble Correspondances, Sébastien Daucé
"Combattimento, la Théorie du Cygne Noir"
Festival d'Aix en Provence 2021
Yvan Beuvard dans "Forum Opera"
19.09.22
Plébiscitée par le public, Blandine de Sansal décroche le premier prix. Splendide mezzo de 29 ans, déjà familière de plusieurs formations reconnues, elle aura valu de belles émotions aux auditeurs, conquis. Les couleurs, la projection, la conduite de la ligne emportent l’adhésion. Le « Vergnügte Ruh’ » de la cantate 170 de Bach, un air virtuose de Juditha triomphans de Vivaldi, puis, plus émouvant que jamais, le « When I am laid » de la Didon de Purcell ont été magistralement servis.